COVID-19. Spray nasal se dit efficace 99 % commercialisé mars

COVID-19. Spray nasal se dit efficace à 99 %  commercialisé d’ici mars.

Créé par le groupe français P & B (Pharma & Beauty), ce spray nasal permettrait d’éliminer 99 % de la charge virale du virus dans les narines, en l’espace de trente secondes.  Alors que l’Institut Pasteur de Lille travaille sur un vaccin nasal, le groupe français P & B (Pharma & Beauty) s’apprête à commercialiser un spray nasal capable d’éliminer 99 % de la charge virale du virus dans les narines, en l’espace de trente secondes, selon trois études validées par différents laboratoires. Les premiers tests ont été lancés auprès du laboratoire français Analytice, après validation scientifique de l’efficacité du spray par l’IHU de Marseille. D’autres tests ont eu lieu au Japon. Selon ces études, il faut deux pulvérisations dans chaque narine, quatre à six fois par jours, pour empêcher la propagation du SARS-CoV-2.

Un spray à base d’eau ionisée  « Ce spray à visée préventive, permet d’éviter la dissémination virale, de déloger par action mécanique les agents infectieux dans les fosses nasales et faciliter leur évacuation, et de réduire localement la charge virale », avance le groupe français P & B. Ce produit qui se présente sous la forme d’un flacon de 30 ml (équivalent à un mois de traitement) serait vendu au prix de 14,90 €, précise Ouest France. Il devrait arriver sur le marché d’ici le 1er mars, le temps que la production se mette en route, d’abord sur le site P & B de Montélimar, puis dans les quatre autres usines du territoire national. Selon nos confrères, un à trois millions d’unités seront disponibles au mois de mars, puis 13 à 15 millions par mois à partir d’avril. Ce spray contient de l’eau ionisée reconnue pour ses propriétés nettoyantes, antimicrobiennes et antivirales. Cette eau est d’ailleurs souvent utilisée pour soigner des brûlures et autres maladies de peau au Japon, détaille RTL. Le principe est simple, une pulvérisation dans chaque narine pour que l’eau décolle le virus de la paroi nasale. Ensuite, comme pour un lavage classique avec de l’eau de mer, il faut se moucher.

Cf. VDN. VOIX DU NORD – 12 – 02- 2021

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